Eugène Bouteilles a été tué à l’ennemi devant la ferme d’Hurtebise.
Il repose au cimetière de Cerny en Laonnois, dans l’Aisne, aux côtés de 5 150 combattants français et 54 combattants russes tombés lors des combats au Chemin des Dames en 1914/1918.
Sa sépulture, identifiée, porte le numéro 1584.
Photo cimetière : Jean-Claude Planes (juill 2011)
Photo sépulture : Daniel Lefèvre (oct 2018)
En 1914, la ferme d’Hurtebise est un lieu stratégique très disputé, celle-ci permet d’obtenir des vues essentielles sur les vallées de l’Ailette et de l’Aisne. Dès le début de la Guerre, le lieu connait de violents affrontements notamment lors des 6 jours de septembre (13 au 18) durant lesquels les Zouaves (qui avaient repris la ferme), et le 12e Régiment d’Infanterie résistent aux assauts successifs de l’armée allemande.
… En 1915, la ferme n’est plus qu’un gisement de ruines traversé par les réseaux de tranchées. Après des mois de bombardements, et surtout ceux qui préparent l’offensive Nivelle au printemps 1917, il n’en reste presque rien. La ferme d’Hurtebise retrouvera un rôle stratégique lors des offensives de 1917 et notamment celle lancée par le général Nivelle le 16 avril 1917. La ferme passera d’un camp à l’autre, les armées n’arrivant jamais à stabiliser leur position sur ce terrain très convoité. Le calme ne reviendra que le 2 novembre avant d’être à nouveau l’enjeu de l’offensive éclair allemande en mai 1918.
La ferme d’Hurtebise sera reconstruite « à l’identique » après la guerre, mais sa position stratégique sera de nouveau mise à l’épreuve lors des combats le 20 mai 1940 lors de la Seconde Guerre mondiale. “
Source : www.chemindesdames.fr
Tué à l’ennemi. Sa tombe a été identifiée au cimetière militaire d’Esnes-en-Argonne (55). Récit du 6 avril à Verdun : Le 6 avrilRive droiteDe 7
Photo:MemGenWeb (JC Rouviere) Engagé volontaire pour 3 ans le 4 octobre 1906 à la mairie de Castres, au titre du 9è Régiment d’artillerie. Rengagé pour
Mort pour la Franc ele 4 décembre 1914 à l’hôpital temporaire n°25 de Sens (Yonne – 89) des suites de blessures de guerre. Sa sépulture
Henri est décédé dans l’ambulance 16/14 à Poperinghe (Belgique) des suite de blessures de guerre.
Bernard BARRET a été porté disparu et déclaré mort pour la France le 3 octobre 1918 par jugement du Tribunal d’Albi rendu le 19 mai
Albert est décédé à l’hôpital de Gottingen, en Allemagne, des suites de blessures de guerre. Il est inhumé au cimetière de Sarrebourg (57), seule nécropole
Jules a été tué à l’ennemi dans la Marne, à Massiges, le 30 septembre 1915. Du fait de sa position charnière entre le front de
François (prénommé aussi Francis) a été tué sur le champ de bataille par éclats d’obus. Il est inhumé au cimetière militaire de Cormicy, dans la
Albert Batignes est mort pour la France le 28 mai 1918 sur la route de Béthune à Tarny Sorny dans l’Ain (02).
Engagé volontaire pour la durée de la guerre le 20 août 1914 à la mairie d’Albi, Arthur est décédé des suites de blessures de guerre
Firmin fut tué à l’ennemi le 23 août 1914 à Jamoigne, en Belgique.
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